Sur le thème Sport et Cancer, nous vous conseillons cette vidéo du CHU de Limoges (87) : Manger, courir : les thérapies d’accompagnement en cancérologie qui met notamment en valeur des témoignages de professionnels de santé et de patientes, à propos d’un protocole incluant la pratique de l’activité physique dans le cadre du traitement du cancer du sein.
C’est ce qu’explique très clairement l’article sur le blog sportetcancer.com, à partir des dernières Rencontres « Composition Corporelle en oncologie » à l’Institut Gustave Roussy le 26 mai dernier. Un argument d’importance sur l’impact positif de l’activité physique et sportive pendant les traitements !
via la CAMI Sport et Cancer www.sportetcancer.com
Lire ici l’article du 4 juin 2014 de Sarah Dumont pour FEMME ACTUELLE.
« Très sportif jusqu’à 20 ans, j’ai basculé dans une obésité très importante suite à des problèmes de dos et une forte sédentarisation. Accompagné médicalement depuis 2 ans, j’ai souhaité reprendre une activité physique malgré la crainte de ne pas y arriver et surtout la peur de me faire mal à nouveau.
J’ai trouvé à mon stade une équipe à l’écoute et qui a su me proposer un programme progressif, adapté à mes craintes et mes contraintes (horaires et disponibilité professionnelle).
Au fil des cycles d’entraînement, j’ai retrouvé la satisfaction de l’effort et une capacité physique trop longtemps enfouie sous ma masse abdominale. Les progrès accomplis en 4 mois (je suis très fier des 429Kg de charge max poussés à la presse horizontale en Bilan de fin de cycle 4, soit +100Kg par rapport au test initial !) sont une source profonde de motivation pour pérenniser cette remise en place d’une activité physique. Grace à mon stade.
Je remercie l’ensemble des préparateurs physiques de mon stade qui m’ont permis d’avancer et de franchir un cap important ! Le travail ne fait que commencer… c’est à moi de continuer maintenant ».
« Après 15 ans de jachère en terme d’activité physique, cette expérience m’a été utile physiquement mais aussi moralement. Je dors mieux, j’ai moins de sautes d’humeur, je suis moins angoissé, plus zen, moins essoufflé, plus tonique. Il me reste un gros souci : changer ma garde-robe en complément des chemises que je n’avais pas mises depuis 20 ans !
Le fait de venir 2 ou 3 fois par semaine a créé une dynamique qui aide à prendre et à garder le rythme. Au bout de 3 mois, j’ai créé le besoin. Si la vie professionnelle ou la maladie m’imposent d’arrêter 10 jours, ça me manque. Maintenant je compte tout faire pour garder mon surnom de « The Line », donné par mes préparateurs physiques parce que je maintiens parfaitement aligné les positions de gainage ! »
