MON STADE est partenaire du Sport-Santé à l’université Paris-Diderot

L’université lutte contre la sédentarité et pour le bien-être de ses étudiants, notamment grâce à des actions sport-santé menées par le SUAPS (service universitaire des activités physiques et sportives) et le SIUMS (Service Interuniversitaire de Médecine Préventive et de Promotion de la Santé).

Pour cet évènement Sport-Santé, médecins, professeurs d’EPS, préparateurs physique spécialisés, diététiciens accueilleront les étudiants le jeudi 8 février de 12h30 à 16h30 au complexe sportif de la fac pour faire un bilan de leur condition physique. + d’infos ici.

Découvrez ici l’offre de sport de la fac de Paris 7 et ici les vidéos Sport-Santé sur Diderot TV.

Selon des chercheurs américains, l’activité physique réduit le risque de maladies cardiovasculaires chez les femmes en rémission d’un cancer du sein. Un point important alors que ces pathologies constituent la première cause de mortalité 5 ans après la disparition de la tumeur mammaire.

Les chercheurs ont suivi 100 survivantes d’un cancer du sein. Le groupe « sportives » a participé à des exercices d’aérobie et de résistance cardiaques à intensité modérée à vigoureuse de 65% à 85%, supervisés, trois fois par semaine pendant 16 semaines.

Selon Le Pr Christiana DIELI-CONWRIGHT, auteure de l’étude, dans le groupe « sportives » comparé au groupe contrôle, « la pression sanguine était diminuée de 10% et le bon cholestérol (high-density lipoprotein, HDL) avait augmenté de 50%. Par ailleurs, seuls 15% des participantes dans le groupe sportives ont développé un syndrome métabolique, contre 80% du groupe contrôle. Toujours selon les chercheurs, « les femmes présentant un syndrome métabolique sont 17% plus à risque de souffrir d’un cancer du sein », « trois fois plus à risque de récurrence de la tumeur et deux fois plus à risque de mourir d’un cancer du sein ».

« L’exercice physique est une forme de médicament », assurent les scientifiques. « Ces résultats soutiennent l’intérêt d’associer des thérapies alternatives aux traitements anticancéreux conventionnels. »

A noter : selon l’American Cancer Society, 9 patientes sur 10 atteintes par un cancer du sein sont encore en vie 5 ans après le diagnostic.

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