MON STADE soutient la Journée au profit de SIDACTION organisée par le Laboratoire de Biologie et de Pharmacologie Appliquée (LBPA, CNRS UMR 8113) sur sur le campus de l’ENS Paris-Saclay à Cachan, le vendredi 24 Mars 2017.

Différentes animations : conférences scientifiques sur le VIH/SIDA, ateliers, quiz, jeux, brochures, exposition, etc. sont proposées tout au long de cette journée qui s’achèvera avec une tombola pour laquelle MON STADE a offert deux bons cadeaux d’une valeur de 150€ chacun, à valoir sur tous nos services.

MON STADE a également transmis les résultats d’une étude réalisée sur 27 personnes vivant avec le VIH et ayant réalisé un programme d’entraînement complet de 13 semaines. (A lire ici dans le livret scientifique de la journée).

Pour télécharger l’état d’avancement des recherches sur le VIH/SIDA et découvrir le programme de la journée de prévention, rendez-vous sur le site internet de l’ENS Paris-Saclay ici.

 

Journée Sidaction ENS Paris Saclay

Selon un travail américain la pratique d’exercices physiques serait le remède le plus efficace pour lutter contre la fatigue des patients souffrant d’un cancer.

Le Pr Karen MUSTIAN de l’Université de ROCHESTER déclare « En cas de fatigue persistante, un patient souffrant d’un cancer devrait éviter de prendre du café ou des médicaments et aller marcher 15 minutes ». « Les patients ont tendance à rester inactifs et à se replier sur eux-mêmes, ce qui aggrave encore la fatigue et exacerbe les autres symptômes. C’est un cercle vicieux que nous devons briser en partenariat avec les patients ».

Après avoir analysé 113 études, la conclusion est que les séances de psychothérapie portant sur l’éducation à la santé, les changements d’hygiène de vie et l’estime de soi ont également permis d’améliorer le tonus des patients. A l’inverse, les traitements médicamenteux testés dans les diverses études (stimulants) se sont révélés inefficaces.

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« Parmi l’ensemble des comportements sains pour la santé, l’activité physique semble être le plus performant chez les femmes ayant eu un cancer du sein », explique le Dr WARNER du SUNNYBROOK HEALTH SCIENCES CENTER (TORONTO).

Une méta-analyse réalisée par l’équipe du Dr WARNER met en avant les bienfaits de l’exercice physique afin de prévenir le risque de récidive du cancer du sein ainsi que la mortalité. Les scientifiques ont étudié l’ensemble des mesures préventives : activité physique, régime alimentaire, abstinence au tabac et à l’alcool.

« Après le diagnostic d’un cancer du sein », explique Ellen Warner, « il est commun que les femmes abaissent leur niveau d’activité physique. C’est pourquoi il est important de faire la promotion du sport auprès des professionnels de santé afin qu’ils encouragent leurs patientes à pratiquer une activité physique ».

Elle rajoute que la prise de poids représente un facteur de risque élevé de récidive et de décès. Il est donc nécessaire d’informer les patientes sur l’importance de préserver leur poids.

À Marseille, l’institut Paoli-Calmettes s’appuie sur les méthodes des coachs sportifs de haut niveau, comme Claude Onesta, pour offrir un accompagnement psychologique aux malades du cancer.

Ceux qui l’ont vécu peuvent en témoigner : il y a un avant et un après cancer. Bien souvent, la maladie laisse pour le patient des traces psychologiques difficiles à surmonter. À Marseille, l’Institut Paoli-Calmettes (IPC), spécialisé dans la prise en charge globale du cancer, explore depuis le printemps 2016 une toute nouvelle piste de suivi des malades. Le programme Rebond, bâti avec des entraîneurs de haut niveau, s’appuie en effet sur le coaching sportif pour aider à dépasser le traumatisme. Et à se dépasser soi-même. […]

Lire ici l’article complet de T. MATHIEU et N. CHEVANCE sur Europe1.fr.

Des chercheurs de l’UNIVERSITY OF CALIFORNIA SAN DIEGO SCHOOL OF MEDICINE ont rapporté que les femmes séniors assises plus de 10 heures par jour avec une faible activité physique ont des cellules biologiquement plus âgées de huit ans par rapport aux femmes qui sont moins sédentaires.

« Notre étude a révélé que les cellules vieillissent plus rapidement avec un mode de vie sédentaire. L’âge chronologique ne correspond pas toujours à l’âge biologique », a déclaré le Pr. Aladdin SHADYAB auteur principal de l’étude avec le Département de médecine familiale et de santé publique à UC San Diego School of Medicine.

Près de 1 500 femmes âgées de 64 à 95 ans, appartenant à la cohorte WOMEN’S HEALTH INITIATIVE (WHI), ont participé à l’étude. Chacune a dû répondre à un questionnaire concernant ses activités quotidiennes et le temps passé assis. Elles ont porté un accéléromètre à la hanche droite pendant 7 jours consécutifs pendant les heures de veille et de sommeil pour suivre leurs mouvements. Les télomères (extrémités des chromosomes) de chacune ont ensuite été mesurés sur l’ADN à partir de prélèvements sanguins.

L’étude, publiée en ligne le 18 Janvier dans l’AMERICAN JOURNAL OF EPIDEMIOLOGY démontre également que les femmes assises plus longtemps ne présentent pas ce vieillissement cellulaire si elles pratiquaient les recommandations nationales soient au moins 30 minutes par jour d’activité physique.

Les facteurs liés à la santé et au mode de vie, comme l’obésité et le tabagisme, peuvent accélérer le processus de vieillissement des télomères. De plus des télomères raccourcis sont associés aux maladies cardiovasculaires, au diabète et aux cancers majeurs.

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L’équipe de Gaël CHETELAT, Unités INSERM, 1077 et 1237 à Caen, a suivi 45 personnes âgées en moyenne de 72 ans qu’ils ont interrogées sur leur degré d’activité physique et cognitive au quotidien.

Selon l’imagerie cérébrale, les sujets les plus actifs présentaient une augmentation du volume de matière grise, notamment au niveau du cortex préfrontal et de l’hippocampe,  2 régions particulièrement affectées par les mécanismes neurotoxiques des démences, notamment ceux de la maladie d’Alzheimer.

De plus, « selon la nature de l’activité pratiquée, l’imagerie montre des différences fines au niveau des régions cérébrales concernées ». « Les activités physique ou cognitive auraient donc un intérêt complémentaire pour retarder les effets du vieillissement cérébral. »

Enfin, il existe « un effet dose : plus le niveau d’activité est élevé, et plus les volumes cérébraux de matière grise sont augmentés ». Il semblerait qu’il n’est jamais trop tard pour commencer car les activités « cognitives et physiques sont bénéfiques à tout âge, même chez le sujet âgé. »

Il semble encore difficile de déterminer les mécanismes en jeu mais « il est probable que cette augmentation de matière grise permette d’accroître ce que l’on appelle la réserve neuronale. »

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Des chercheurs de l’Université de l’ARIZONA ont montré que courir peut affecter la structure et la fonction du cerveau de manière similaire à des tâches complexes comme jouer d’un instrument de musique.

Cette recherche menée par IRM confirme les conclusions d’études de plus en plus nombreuses sur les bénéfices de l’exercice physique sur la santé cérébrale et cognitive.

L’équipe de chercheurs a comparé les examens cérébraux de jeunes adultes, âgés de 18 à 25 ans, sportifs et ne pratiquant pas d’activité physique régulière.

L’analyse des données d’imagerie montre que les coureurs, tout particulièrement, présentent plus de connexions entre différentes zones du cerveau dont le cortex frontal, zone clé pour les fonctions cognitives comme la planification, la prise de décision et l’attention.

Une confirmation précieuse des effets de l’exercice sur la connectivité cérébrale fonctionnelle alors qu’elle décline, généralement, durant le vieillissement et particulièrement chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’autres maladies neurodégénératives.

Il reste donc à vérifier si la pratique de certains sports à l’âge jeune adulte pourrait contrer cet effet de l’âge et apporter un certain bénéfice à vie.

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Le degré de récupération d’un patient atteint d’accident vasculaire cérébral est largement déterminé par la capacité du cerveau à se réorganiser.

Des données publiées dans la revue FRONTIERS IN AGING NEUROSCIENCE, confirment et documentent le double effet de l’exercice, à la fois préventif et thérapeutique, face à l’AVC.

Les chercheurs de l’étude, menée par le Dr. Evgenia KALOGERAKI, auteur principal et chercheur à la GEORG-AUGUST UNIVERSITY (Allemagne), ont  regardé si l’exercice pouvait contribuer à la réparation du cerveau après un AVC.

Cette étude,  réalisée sur des souris, confirme que pratiquer spontanément et régulièrement de l’exercice physique contribue à protéger le cerveau contre les effets dommageables de l’AVC. D’autre part, reprendre un exercice adapté, post-AVC, accélère la récupération et protège contre le risque de récidive.

Des pistes intéressantes sont mises en avant pour de futures études cliniques.

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L’épisode de pollution de l’air aux particules fines est amené à se poursuivre dans les prochains jours.

« Ces épisodes de pollution peuvent entraîner l’apparition ou l’aggravation de divers symptômes (augmentation des symptômes allergiques et des crises d’asthme, irritation des yeux, de la gorge et du nez, hypersécrétion nasale, essoufflement…), notamment chez les personnes les plus vulnérables telles que les nourrissons et jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées, les personnes asthmatiques ou souffrant de pathologies cardiovasculaires ou respiratoires. », rappelle la Direction Générale de la Santé.

A titre individuel, voici les recommandations à suivre durant ces épisodes de pollution.

A l’attention des populations vulnérables et sensibles :

  • Évitez les activités physiques et sportives intenses, en plein air ou à l’intérieur ;
  • En cas de gêne respiratoire ou cardiaque inhabituelle, consultez votre médecin ou pharmacien ;
  • Prenez conseil auprès de votre médecin pour savoir si votre traitement doit être adapté ;
  • Si vous sentez que vos symptômes sont moins gênants quand vous restez à l’intérieur privilégiez des sorties plus brèves que d’habitude ;
  • Évitez de sortir en début de matinée et en fin de journée et aux abords des grands axes routiers ;
  • Reportez les activités qui demandent le plus d’effort.

A l’attention de la population générale :

  • Réduisez et reportez les activités physiques et sportives intenses, en plein air ou en intérieur, jusqu’à la fin de l’épisode si des symptômes sont ressentis (fatigue inhabituelle, mal de gorge, nez bouché, toux, essoufflement, sifflements, palpitations)
  • En cas de gêne inhabituelle (par exemple : toux, mal de gorge, nez bouché, essoufflement, sifflements), prenez conseil auprès de votre médecin ou pharmacien.

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« Runners : comprendre la pubalgie et le rôle de la PPG dans sa prévention » : avis de Denis VINCENT dans le magazine JOGGEUR

Dans son article « comprendre la pubalgie », le magazine JOGGEUR donne la parole à Denis VINCENT, kinésithérapeute et ostéopathe. Expert dans le domaine du running (runner lui-même, il s’est notamment occupé de l’équipe de France d’athlétisme), Denis VINCENT explique le rôle essentiel de la préparation physique générale (PPG) dans la prévention des pubalgies du sportif, et du runner en particulier.

L’occasion pour MON STADE d’insister avec lui sur l’importance de la PPG pour la sécurité et la performance, et de mettre en avant ses programmes personnalisés pour les runners et pour tous les sportifs.

Lire l’article ici.

Accéder ici au site du magazine JOGGEUR.

Une équipe de l’Université norvégienne des Sciences et de la Technologie révèle une forte prévalence de la sédentarité (soit de 9 à 15 heures par jour passées sans bouger) chez les personnes âgées.

L’étude s’appuie sur les données de la cohorte GÉNÉRATION 100, un essai clinique contrôlé randomisé débuté en 2012 qui regarde les effets de l’exercice sur la longévité et la « vie en bonne santé » chez les personnes âgées. Les chercheurs ont analysé les données recueillies via l’accéléromètre sur une semaine pour 874 participants et ont cherché à savoir si la bonne forme physique peut réduire les effets négatifs sur la santé de la sédentarité.

Les résultats montrent que les personnes âgées ayant les niveaux les plus élevés de remise en forme, soit 40% des participants ont aussi le niveau le plus faible de risque cardiovasculaire. Ce résultat est le même pour les participants relativement sédentaires (soit de 12 à 13 heures de sédentarité par jour), mais néanmoins en très bonne forme physique.

Cette conclusion s’applique aussi à certains participants, y compris parmi les aînés, qui ne respectent pas les recommandations actuelles de pratique de l’activité physique.

En revanche, respecter les recommandations d’activité physique n’apparaît pas suffisant pour éliminer le risque cardiovasculaire associé à un comportement sédentaire, en cas de forme cardiorespiratoire moyenne ou insuffisante.

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Une étude publiée dans la revue CIRCULATION confirme que la pratique régulière du vélo, pour le plaisir ou comme moyen de transport, réduit de façon notable le risque d’accident cardiovasculaire.

Les chercheurs ont suivi 45 000 Danois âgés de 50 à 65 ans pratiquant la bicyclette, soit en loisir, soit comme moyen de transport. Après 20 ans de suivi, ils présentaient respectivement 11% et 18% de risque cardiovasculaire en moins qu’un groupe contrôle. L’analyse a ainsi montré qu’une demi-heure de vélo par semaine fournit une certaine protection contre les maladies cardiovasculaires.

Dans un autre travail publié dans le journal de l’AMERICAN HEART ASSOCIATION, des chercheurs ont suivi 20 000 Suédois sur plus de 10 ans au cours des années 1940, 1950 et 1960. Les résultats montrent  que les adultes qui se déplaçaient à bicyclette étaient moins susceptibles de développer une obésité, de présenter un taux de cholestérol élevé, une hypertension artérielle ou un pré-diabète, et ce comparé à ceux qui ne pédalaient pas.

« Il n’est jamais trop tard pour se mettre à pédaler. Les sujets qui s’y sont mis tardivement ont enregistré des gains considérables sur leur santé cardiovasculaire.» selon les scientifiques.

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Etude JAHA

Une équipe de l’Université d’UPPSALA en Suède a démontré que l’exercice physique intensif régule à la baisse les taux d’endocannabinoïdes élevés par une durée de sommeil trop courte. Ces derniers sont  responsables de comportements alimentaires néfastes (hyperphagie et mauvais choix alimentaires), facteurs de risque de surpoids et d’obésité.

Cette équipe suédoise a démontré que l’exercice physique réduit l’excès d’endocannabinoïdes de moitié, jusqu’à rétablir les niveaux à la normale.

L’activité physique permet aussi de retrouver un équilibre neurologique (réduction du stress, qui augmente après la privation de sommeil) même dans des conditions de privation de sommeil prolongée.

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L’Institut national du cancer (INCa) annonce ce lundi 19 septembre que 40% des cancers diagnostiqués en France pourraient être évités.

Comment ? En modifiant son mode de vie.

Une campagne de prévention a été lancée ce lundi par l’INCA et le ministère en charge de la santé pour informer sur les gestes quotidiens efficaces pour mieux prévenir cette maladie.

Parmi ces actions, l’activité physique contribue à réduire le risque de développer le cancer du côlon, du sein de l’endomètre et du poumon mais aussi les facteurs de risque liés au cancer comme le surpoids.

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