Des chercheurs français de l’institut Gustave Roussy ont démontré que dans le cas du cancer du sein trente minutes de marche rapide par jour réduiraient de 10% le risque de développer la maladie.

Publiée dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prévention, cette étude montre aussi que ces effets sont d’autant plus efficaces que « l’exercice physique est entrepris à un rythme régulier, 4 ans avant la ménopause ».

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Des chercheurs canadiens de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal mettent en évidence un lien entre la condition physique et l’élasticité des artères cérébrales.

« Les artères durcissent avec l’âge. On croit que ce phénomène commence dans l’aorte, la principale artère sortant du cœur, avant d’atteindre le cerveau. Or, les changements cognitifs dus au vieillissement évoluent à peu près au même rythme que le durcissement artériel, et il pourrait y avoir un lien entre les deux. Nous avons découvert que les adultes âgés qui ont une aorte en meilleure condition et une meilleure capacité aérobie obtiennent aussi un meilleur score dans un test cognitif. Nous pensons que la préservation de l’élasticité artérielle pourrait être l’un des mécanismes par lequel l’exercice ralentit le vieillissement cognitif » selon Catherine Gauthier.

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Karine Clément, nutritionniste chercheuse spécialisée dans l’obésité et la nutrition explique en vidéo les mécanismes de complication du tissu adipeux sur l’organisme.

L’activité physique et sportive en diminuant l’adiposité abdominale, combat les effets néfastes de l’obésité (risque de maladie cardiovasculaire, risque de cancer, etc.).

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Une nouvelle étude de l’Université de Californie – San Francisco et publiée dans la revue Molecular Psychiatry de Juillet 2014, démontre les effets bénéfiques d’une alimentation équilibrée, d’une bonne qualité et quantité de sommeil et de la pratique régulière d’une activité physique et sportive contre le vieillissement cellulaire causé par le stress.

En cause, le raccourcissement des télomères, extrémités protectrices des chromosomes et qui conditionnent la rapidité du vieillissement cellulaire.

C’est la première étude qui montre que les effets négatifs liés aux facteurs de stress de la vie quotidienne peuvent être contrés par un mode de vie sain.

 

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Selon une étude américaine publiée lundi 28 juillet dans le Journal of the American College of Cardiology « courir quelques minutes chaque jour se révèle aussi efficace qu’un long jogging lorsqu’il s’agit de prolonger l’espérance de vie ». En effet, aucune différence importante n’aurait été constatée entre ceux qui courent peu (50 minutes par semaine) ou beaucoup (180 minutes par semaine), vite ou lentement (moins de 10 km/h selon les auteurs).

Cette étude montre également « qu’un coureur vit en moyenne plus longtemps qu’une personne inactive » et que « seulement 5 à 10 minutes chaque jour peuvent réduire de manière importante les risques de maladies cardiovasculaires et de mortalité prématurée ».

« Comme le temps disponible représente l’un des freins les plus importants à la pratique d’une activité physique, l’étude pourrait inciter davantage de personnes à commencer la course à pied », a commenté Duck-chul Lee, un des auteurs principaux de l’étude.

 

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Une équipe allemande de l’université de Ratisbonne a observé au cours d’une étude une « forte relation entre le tour de taille et le risque de BPCO » explique le Dr Behrens.

L’article retient l’un des résultats importants observé dans cette cohorte de 113 279 Américains âgés de 50 à 70 ans dont 3648 ont développé une BPCO pendant les 10 ans de suivi (entre 1996 et 2006), à savoir un risque de développer une BPCO de 72% en cas de tour de taille nettement augmenté (>= 118cm chez l’homme ou 110cm chez la femme) en comparaison aux sujets avec un tour de taille normal (<94cm chez l’homme et <80cm chez la femme).

Mais l’auteur de l’étude rapporte aussi qu’un excès de BPCO a été observé chez les sujets avec un IMC bas <18,5kg/m², avec un risque de BPCO accru de 56% par rapport aux sujets ayant un IMC normal de 18,5 à 25kg/m².

Ainsi, autant l’excès d’adiposité (tour de taille élevé) que le défaut de muscle (indice de masse corporelle bas) sont liés à la survenue d’une BPCO.

Un autre point de l’étude important à souligner est l’effet protecteur d’une pratique régulière d’activité physique, avec une réduction du risque de développer une BPCO de 29 à 32% pour une pratique régulière d’au moins 5 fois par semaine par rapport à l’inactivité physique, avec un effet dose (plus on en fait, mieux c’est).

 

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Une équipe américaine de l’Université de l’Iowa a évalué, auprès de 60 personnes atteintes de Parkinson (dont certaines présentées une forme modérée de la maladie), « les bienfaits d’un programme de marche à raison de 3 séances de 45 minutes par semaine pendant 6 mois. Les participants ont été soumis à différents tests destinés à évaluer leurs aptitudes physiques mais aussi leurs capacités d’attention et de concentration et enfin leur état d’esprit (humeur…). »

Les résultats préliminaires de ce travail montrent que « la marche a boosté les résultats de l’ensemble des paramètres étudiés. » Les capacités fonctionnelles ont augmenté de 15%, la concentration et l’humeur ont été améliorées de 14% et de la fatigue réduite de 11%.

Quid des résultats complémentaires non communiqués à ce jour, qui devraient pouvoir en dire plus sur la comparaison des deux modalités d’activité physique étudiées (activité physique continue à intensité modérée versus activité physique intermittente à haute intensité).

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Résultats d’une étude publiée dans le JOURNAL OF APPLIED PHYSIOLOGY

Une étude publiée dans le JOURNAL OF APPLIED PHYSIOLOGY montre, avec des données mesurées par DXA, un avantage de l’entraînement mixte « endurance + musculation » par rapport à un entraînement en « musculation seule » sur la perte de poids (2,6% de perte en plus) et de masse grasse (6,6% en plus).

Un autre résultat important a été rapporté par l’étude : par rapport au groupe non entraîné, il a été observé une perte d’adiposité viscérale de 7,7% dans le groupe « musculation seule » et de 20% dans le groupe mixte « endurance + musculation » avec  une amélioration significative des marqueurs de résistance à l’insuline.

Lire l’article sur LCI : https://www.lci.fr/sante/letude-sante-du-jour-pour-que-le-sport-soit-efficace-mieux-vaut-miser-sur-la-qualite-1551329.html

Au CHU de Limoges

Sur le thème Sport et Cancer, nous vous conseillons cette vidéo du CHU de Limoges (87) :  Manger, courir : les thérapies d’accompagnement en cancérologie qui met notamment en valeur des témoignages de professionnels de santé et de patientes, à propos d’un protocole incluant la pratique de l’activité physique dans le cadre du traitement du cancer du sein.

https://www.youtube.com/user/CHUlimoges

C’est ce qu’explique très clairement l’article sur le blog sportetcancer.com, à partir des dernières Rencontres « Composition Corporelle en oncologie » à l’Institut Gustave Roussy le 26 mai dernier. Un argument d’importance sur l’impact positif de l’activité physique et sportive pendant les traitements !

via la CAMI Sport et Cancer www.sportetcancer.com

Faire du sport malgré la maladie, le thème de l’émission « Allô, Docteurs » du 26 mai sur FRANCE 5

L’émission fait une revue des bienfaits de l’Activité Physique MALGRÉ mais aussi POUR le traitement de très nombreuses maladies chroniques : les deux diabètes et les maladies cardiovasculaires bien sûr, mais aussi, moins connu du grand public : la mucoviscidose, le VIH, plusieurs cancers ou encore la dépression.

Plusieurs reportages intéressants notamment un sur la CAMI (www.sportetcancer.com)  et un sur l’Institut Cœur Effort Santé où les adhérents de mon stade reconnaîtront sans doute Aurélien Lasserre, un des préparateurs physiques de la structure.

Voir la vidéo de l’émission « Allô, docteurs » du 26 mai 2014 en replay sur : http://www.allodocteurs.fr

Pour aller plus loin  sur le groupe des maladies de l’inactivité physique : The diseasome of physical inactivity – and the role of myokines in muscle/fat cross talk, Bente K. Pedersen, J. Physiol. Dec 1, 2009 ; 587 (Pt 23) : 5559-5568. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2805368/

Il n’est jamais trop tard pour débuter le sport

David Matelot, agrégé d’éducation physique et chercheur en cardiologie du sport au CHU de Rennes a réalisé une étude sur l’influence de l’activité sportive sur des populations d’âge différent. Présentés le 9 mai lors du congrès de prévention cardiovasculaire EuroPrevent à Amsterdam et publiés dans quelques mois, ces travaux révèlent que les bénéfices du sport sur le cœur concernent les sportifs de tout âge, indépendamment du moment auquel ils ont commencé leur activité.

Lire l’article complet sur LE MONDE Santé : lemonde.fr

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